Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

Un jour à marquer d’une bière blonde


Variation sur l’écriture inspirée par une célèbre anecdote sur Nabokov.


(2007. 3’27. Texte, images, voix et réalisation Bernard Deglet)