Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

Sur la terre des hommes et dans le soleil


Mise en abyme, par la parole, l’image et les silences, d’une superbe réflexion sur la voix et le temps.


(2008. 7’40. Voix de René Jentet et René Farabet, images et réalisation Bernard Deglet)