Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

On pourrait ajouter : complet !


Auto portrait à étages

(2009. 5’04. Texte de Jacques Réda. Voix, images et réalisation de Bernard Deglet)