Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».
26 lettres plus une
600 prisonniers seraient sortis des baraques et auraient entonné la Marseillaise ?!
(2007. 4’19. Texte, voix, réalisation Bernard Deglet. Images Easy-prod. Musique de source inconnue)
Né à la fin du XXème siècle dans une ville morte. Fasciné par les éoliennes et les phrases trop longues. Vit au bout du couloir de la chimie, à gauche, au numéro 2.Publie également en revues ou sur le web. Fait des lectures publiques. Projette parfois des vidéos littéraires de son cru sur un drap de lit suspendu à un fil à linge, ou toute autre surface appropriée. Contact : bernard.deglet(at)free.fr